Un psychométéore est un météore qui peut ne pas avoir existé ou dont l’existence fait l’objet d’interprétations comme des récits apocryphes, mystiques, politiques, des œuvres d’art…
Pégase
Enfant de Poséidon et de de la Gorgone Méduse, Pégase se met au service de Zeus, qui le charge d’apporter les éclairs et le tonnerre sur l’Olympe. Après de nombreuse péripéties, le Dieu des dieux finit par le transformer en constellation et le place dans le ciel.
Le passage de la comète de Halley en avril 1066 est utilisé par Guillaume le Conquérant comme un moyen pour légitimer son accession au trône d’Angleterre. La tapisserie de Bayeux la présente comme une désapprobation divine du couronnement de Harold, car Harold avait promis le trône à Guillaume.
La comète de l’an 1007 représentée dans le Livre des Miracles, manuscrit allemand du XVIe siècle relatant des phénomènes surnaturels mêlant histoires bibliques, folklore et visions apocalyptiques.
Fondateur de l’observatoire physico-météorologique de La Havane, André Poëy édita un Nouvelle Classification des nuages, inspirée de Luke Howard et qu’il augmente de caractéristiques que l’on peut considérer comme des pareidolies (propention de l’esprit à reconnaitre des motifs figuratifs dans des formes) ainsi, ses nuages en forme de groseille ou ses nuages montagneux.
Aux frontières de l’étrange, les pluies de grenouilles, de poissons ou de sang dont un scientifique témoigne pour leur apporter des explications scientifiques à l’usage des jeunes générations : Odd Showers (consulter…)
Ovnis, objets volants non identifiés.
Le cube de nuages de l’artiste Thomas Lanfranchi est un nuage cubique fabriqué par la pensée. Cette performance a été réalisée au cours de plusieurs périodes et dans plusieurs pays. Elle a été actualisée à Guéret du 1er avril au 30 avril 2020.
Thomas Lanfranchi est un artiste créant des formes portées par le vent et parfois par l’esprit. Voir Cube de nuages.
…et si d’aventure vous cherchez toujours à comprendre pourquoi les nuages sont à eux seuls des psychométéores, puisqu’ils nous invitent à la rêverie, voici cette Ode aux nuages de l’écrivain blogueur Patrick Corneau, dont l’amorce est « Je n’aime pas le ciel bleu ».